Le langage corporel et ce qu'il nous apprend
Partager
Sommaire
D’après « Le langage universel du corps » de Philippe Turchet.
On ne s’en rend pas compte, mais plus de 80% de nos échanges passent par d’autres canaux que par les mots.
Le corps parle, il exprime toutes nos émotions, aussi bien celles que nous désirons garder pour nous que celles que nous voulons transmettre.
Le chercheur américain Robert Rosenthal a mesuré l’impact du langage non verbal, celui du corps, dans la communication quotidienne. Il est étonnant !
Cela commence dès l’enfance : le nouveau-né communique de visage à visage après la naissance. Sa mère lui apprend peu à peu à décoder le monde, par ses expressions corporelles. Dans le règne animal aussi, les bébés singes apprennent à avoir peur des serpents en voyant leur mère s’effaroucher. Chez les adultes, la première impression non-verbale est décisive dans les contacts humains. C’est vrai dans les relations amoureuses aussi bien que dans les entretiens d’embauche !
C’est d’ailleurs cette faculté langagière du corps qui est le ressort de l’empathie c’est-à-dire la capacité à comprendre ce que l’autre ressent : le cerveau nous fait ressentir son vécu parce qu’il décode naturellement les micromouvements de son visage et de son corps. Nous percevons ainsi la douleur physique d’un être parce que les mêmes zones cérébrales, que celles actives lorsqu’il souffre, sont activées chez nous. Grâce à l’action des neurones miroirs, nous faisons inconsciemment travailler les mêmes zones du cerveau que lui.
On parle aussi « d’intelligence émotionnelle » : nous hiérarchisons les informations qui nous arrivent à partir de critères émotionnels.
Ce langage du corps n’a pas de frontière : que nous soyons asiatique, occidental ou africain, si nous vivons une émotion, elle sera lisible sur notre visage. Bien sûr, chacun d’entre nous dispose d’un patrimoine gestuel qui lui est propre et qui diffère d’un individu à l’autre. Mais si le cerveau enregistre une émotion, elle s’affichera sur le corps, que la personne en soit consciente ou non. Cela se traduira par des gestes, des positions, des micromouvements, des clignements d’yeux, … etc.
Jacques Lacan disait bien : Je parle avec mon corps, et ceci sans le savoir. Je dis donc toujours plus que je n’en sais.
Émotions passagères et émotions permanentes
Certaines émotions provoquent en nous du plaisir, d’autres de la souffrance. Ces émotions peuvent être fugaces ou au contraire se répéter régulièrement et devenir des émotions d’arrière-plan. Dans ce cas, l’émotion finit par transformer de façon caractéristique la physionomie de la personne. Par exemple, la colère provoque souvent des plis entre les yeux et une contraction du visage. Si la colère devient un trait de caractère de l’individu, son visage portera ces plis et cette contraction de manière permanente. On parlera alors de ride, c’est-à-dire de traits durables qui s’impriment sur le visage.
C’est ainsi que des personnes qui vivent dans l’anxiété portent souvent un faciès tendu, même quand aucun événement particulier ne les inquiète.
Certaines émotions, comme la peur, font remonter les épaules qui se contractent. Une peur durable peut modifier la morphologie de l’individu qui conserve les épaules contractées et le cou rentré. On citera le cas d’un enfant battu durant toute sa jeunesse ; la peur de son père lui a façonné sa morphologie d’adulte, il avait les épaules tellement crispées qu’il semblait ne plus avoir de cou.
C’est quand la morphologie de l’individu est atteinte qu’il est important de trouver les outils pour relâcher les tensions physiques (voir l’offre d'appareil de massage de Cervi-Care) et lui donner la possibilité de retrouver un mouvement naturel plus harmonieux et plus épanouissant. Voyez aussi notre article sur les bienfaits d'un appareil de massage shiatsu pour votre santé.
Cerveau gauche et cerveau droit
Le cerveau humain est composé de deux hémisphères : l’hémisphère droit qui accueille les émotions , fonde le ressenti, et l’hémisphère gauche qui décode de manière logique, avec vigilance et mise à distance.
La ligne de partage entre les deux hémisphères est bien visible au centre du cerveau. Les informations sont transmises d’un hémisphère à l’autre par le corps calleux. Plus de 99% des neurones corticaux travaillent à la communication interne entre les aires du cerveau. Les informations émotionnelles sont reçues dans l’hémisphère droit qui gère la partie gauche du corps et les informations rationnelles sont traitées dans l’hémisphère gauche qui gère la partie droite du corps. Il y a donc une logique de croisement. Si l’hémisphère droit est plus actif, c’est la moitié gauche du visage et du corps qui va le manifester, et vice-versa.
Les deux parties du corps et du visage n’expriment donc pas les mêmes réalités.
On a pu observer que les bébés regardent davantage la partie gauche du visage de leur mère, celle qui exprime les émotions du cerveau droit. Ou les pères choisissent de placer leur enfant sur le bras gauche (actionné par le cerveau droit) quand ils veulent l’aider à s’endormir. Ou encore, les amoureux s’embrassent le plus souvent d’œil gauche à œil gauche.
Lors d’émotions intenses, le branle-bas émotionnel est déclenché par l’hémisphère droit qui est suractivé et qui irrigue fortement la moitié gauche du visage (qui est dilatée). Lorsque les émotions ressenties sont positives, la moitié gauche du visage a tendance à s’ouvrir et elle se ferme lorsqu’elles sont négatives.
Quand une personne décode les informations de son interlocuteur, c’est le cerveau gauche qui travaille et la moitié droite du visage qui se manifeste davantage.
Quand une personne est contractée, elle l’est souvent davantage dans la partie droite de son corps (plus tonique). Si la contraction est constante, c’est que le stress s’inscrit en permanence dans son corps. Et là aussi il faut prendre des mesures correctives (voir l’offre de Cervi-Care pour soulager le stress).
Réduire le stress avec l'utilisation d'un tapis d'acupression
Les microdémangeaisons
Le néocortex voudrait que la vie se passe sans soubresauts. Dans cette perspective, il étouffe les émotions fortes. Mais les émotions sont dans le cerveau depuis des millions d’années. Il n’est pas question pour elles d’en être délogées. A coups de déplacements de rides, de battements de cœur et autres gratouillis, elles organisent une résistance active face au néocortex. Elles se propagent dans les mains qui se portent sur l’une ou l’autre partie du visage ou du corps, indice de ce qui démange. C’est le cerveau qui donne l’ordre aux mains d’intervenir, sans que la personne en soit consciente. La personne ressent une microdémangeaison et y répond impulsivement. On peut dire que la main dit tout haut ce que le corps pense tout bas.
Il est courant, par exemple, de se gratter le crâne quand on cherche la solution à un problème difficile. Ou de se frotter l’œil quand on ne veut pas voir une situation qui ne nous convient pas. Ou de se gratter le côté arrière de la tête quand on est dans une impasse. Plus les microdémangeaisons s’approchent de la nuque, plus elles prennent une tonalité émotionnelle agressive. Signe que l’embarras augmente et l’impulsivité aussi.
Les démangeaisons sous le nez sont liées au non-dit, c’est-à-dire au mensonge. Ce n’est pas pour rien qu’on parle du nez de Pinocchio !
Les microdémangeaisons sont 6 fois plus présentes sur la partie droite du visage que sur la gauche, ce qui n’est pas étonnant puisqu’elles répondent à l’expression de l’agressivité d’autrui (décodée par l’hémisphère gauche du cerveau).
La fonction secondaire des microdémangeaisons est de donner une contenance à l’individu qui bouge et gesticule pour se sortir d’un mauvais pas. Le geste permet d’échapper à son interlocuteur pour réfléchir à la réaction la plus appropriée.
Relaxez votre corps avec nos Tapis d'acupression et Fleur de Lotus, tonifiez votre circulation sanguine et prenez possession de votre corps !
La symbolique du corps est universelle
Les êtres humains ont tous le même corps, chacune de ses parties remplit partout les mêmes fonctions physiques et symboliques, qu’elle que soit la culture considérée. La bouche est toujours au centre du visage, elle ingère la nourriture et émet les sons ou les mots. Les gens se regardent avec les yeux, saisissent les objets avec les mains, prennent ceux qu’ils aiment dans leurs bras et se sauvent avec les jambes.
Dans toutes les cultures, le sternum désigne l’égo, le je. Avoir mal au sternum est souvent l’indice d’un mal-être personnel, d’une difficulté à trouver sa place dans la société.
Le ventre est le symbole de l’avoir. Toucher son ventre, le caresser permet de se rassurer sur ses propres possessions, d’en être fier ou de s’en inquiéter, d’être jaloux de celle des autres aussi.
Le bassin est la zone de la sexualité par excellence. Certains hommes se réconfortent inconsciemment en caressant leur sexe. Ils affirment ainsi leur virilité. Placer les mains sur les hanches traduit la recherche d’ascendant et d’autorité.
Les bras sont des liens. Ils permettent la relation. Mais ils sont aussi des armes de lutte, pour celui qui joue les gros bras ou qui tombe à bras raccourcis sur son adversaire.
Les jambes sont, comme les bras, un lien dans l’espace. Elles rapprochent ou elles éloignent. Elles disent oui en se rapprochant et non en s’éloignant. On se tiendra plus près des personnes qu’on apprécie, on s’écartera de celles dont on se méfie.
La symbolique du corps au travers de la colonne vertébrale et du dos
Le visage est l’espace stratégique par excellence parce qu’il est la tour de contrôle du corps, le radar qui lie toutes les dimensions de l’information. Les mains ont la fonction de le protéger de l’extérieur. Par exemple, en cas de peur, la main se portera instinctivement sur la bouche pour la fermer et ne pas laisser entrer la frayeur. C’est un geste qui ne trompe pas. Porter la main au menton indique le doute de la personne face à une situation incertaine ou ambiguë. Se mettre les mains sur les oreilles montre souvent qu’on ne veut pas entendre ce qui ne fait pas nos affaires.
Le cou est la voie royale des émotions
On dit souvent avoir une boule dans la gorge ou avoir le souffle court. Le cou est la voie royale empruntée par les émotions pour rejoindre le cerveau. Pas étonnant qu’autant de bouchons s’y forment et qu’autant de douleurs cervicales se déclenchent !
Le cou nous démange là où nos émotions cherchent un passage vers l’extérieur. C’est le cou qui demande à être gratté : il donne l’ordre à la main d’intervenir à un endroit précis pour soulager la démangeaison. Par exemple, ouvrir son col de chemise pour arriver à respirer dans une situation pénible. Ou placer sa main dans la zone du cou, sous la gorge, pour permettre à l’air de passer quand on affronte un message négatif.
Comprenez la signification des douleurs cervicales dans cet article.
Le côté gauche du cou nous démange lorsque nous sommes en lien avec quelqu’un d’autre et que nous attendons l’occasion de pouvoir parler. Le côté droit nous démange lorsque la communication est tendue et les propos négatifs, quand le climat est à la violence symbolique.
La main se posera sur le cou pour traiter les messages liés à ce qu’il faut dire ou taire.
Découvrez nos solutions pour soulager vos douleurs cervicales avec nos minerves et colliers pour cervicales mais aussi le hamac cervical.
Le dos, une zone éminemment symbolique
S’il est une zone du corps qui a un pouvoir symbolique, c’est le dos, les multiples expressions populaires le montrent. On dit bien : en avoir plein le dos, il me met tout sur le dos, il a bon dos, il fait le gros dos, il lui a fait un enfant dans le dos,…. Ces expressions renvoient pour la plupart au poids des choses et de la vie.
Dans le haut du dos se trouvent les trapèzes, lorsque trop pèse. Ces muscles se contractent pour effectuer des tâches physiques, comme déplacer une armoire par exemple. Mais ils se contractent aussi quand la personne se voit confier des projets trop lourds à porter, ils indiquent le stress émotionnel vécu par l’individu. Un col blanc peut éprouver, subjectivement, autant de fatigue dans le haut du dos qu’un déménageur… alors qu’il ne porte physiquement que son stylo !! En fait, il porte des responsabilités, il doit prendre des décisions qui pèsent lourd. Pas étonnant qu’il ait besoin de se masser les trapèzes et de se relaxer le dos en fin de journée !
Massage des trapèzes et du dos avec un appareil de massage Shiatsu
Les individus auront le trapèze gauche qui les démange quand ils estiment que la situation ou les évènements sont lourds à porter, mais qu’ils ont envie d’y arriver, parce qu’ils se sentent impliqués dans l’affaire. Quand l’énergie cérébrale les invite à se gratter le trapèze droit, c’est que le contexte général est difficile et que ça pèse trop lourd, ils se désengagent face au poids des choses. Le corps exprime lui-même ce qui est bon pour lui, ses microdémangeaisons en témoignent.
Des solutions existent pour soulager les maux de dos
Au-dessous des trapèzes, les omoplates donnent de l’amplitude aux gestes. On ressentira des gratouillis à cette hauteur quand on veut se hâter mais qu’on se sent arrêté dans son élan. A gauche, parce qu’on a vraiment envie d’agir et à droite parce qu’on cherche à ne pas s’engager et à fuir.
Dans le bas du dos, les reins expriment une fatigue existentielle. Quand l’individu se place instinctivement les mains sur les reins, il montre qu’il ressent le poids du monde, une forme de lourdeur fondamentale liée à son vécu personnel. Les situations lui paraissent si pesantes qu’elles pourraient bien lui causer un tour de rein. Ici, le ressenti est plus diffus que celui qui s’exprime dans les trapèzes.
Pour soulager le bas de votre dos, l'idéal est une ceinture lombaire chauffante médicale !
Globalement, la main se portera dans notre dos quand on est en situation difficile, avec l’envie ou non de résoudre les problèmes, qu’ils soient momentanés ou liés à notre mode de vie.
Des épaules pour épauler
Les épaules sont sollicitées pour appeler à l’aide, pour solliciter la générosité individuelle. Les épaules épaulent autrui, elles symbolisent la solidarité. On dit bien avoir les épaules larges.
En situation de communication, quand votre interlocuteur se touche l’épaule gauche, il exprime des préoccupations face à la hiérarchie. Il craint de devoir se surpasser pour exécuter ce qui lui est demandé et il doute de lui. Quand il touche son épaule droite, il se sent dépassé par les événements, il signifie qu’il n’est pas à la hauteur de la situation. C’est souvent parce qu’il n’ose pas intervenir que l’individu se gratte, il peut ainsi temporiser tout en étant actif.
Pour le mal de dos et des épaules, utilisez un correcteur de posture pour redresser votre dos. Il vous aidera à retrouver une bonne posture et en finir avec les douleurs.
À l’avant des épaules, les clavicules sont la clé du cœur. Quand elles démangent, c’est qu’il y a désir de donner. Les gens se caressent ou se grattent la clavicule dans toutes les situations où ils seraient prêts à donner plus qu’on leur demande.
Le corps pense tout haut
L’être humain est un être d’émotions. Il exprime certaines de ses émotions par ses gestes, et cela mêle s’il les communique aussi par la parole. En situation de communication, la main des gens se déplace environ toutes les 6 secondes, ce qui signifie qu’elle effectue environ 10 gestes à la minute si le climat est d’une intensité émotionnelle moyenne. Ces gestes racontent la vie de l’inconscient. Il est important d’y être attentif, en tant qu’interlocuteur, car ce langage du corps nuance le discours et complète l’échange humain.
À côté des émotions exprimées, il y a celle que nous réprimons et qui se manifestent malgré nous, via les microdémangeaisons. Les impulsions qui déclenchent chez nous le désir de se gratter ne sont pas perçues consciemment. Grâce aux microdémangeaisons, les tensions émotionnelles émergent, trouvent à se dire, et peuvent être gérées afin que le corps retrouve son homéostasie c’est-à-dire son équilibre.
Lorsqu’on ressent une microdémangeaison sur la moitié droite du corps, l’univers de la communication est le plus souvent négatif ou difficile. Les informations sont traitées par l’hémisphère gauche du cerveau avec plus de distance.
Le langage corporel remonte à la nuit des temps : il est inscrit dans nos gènes, c’est ce qui le rend universel parmi l’espèce humaine. Y être attentif, c’est retrouver notre pleine dimension d’être humain.
Et vous, qu'en pensez-vous ? Laisser un commentaire pour nous le faire savoir et partagez cet article sur les réseaux sociaux !
D’après « Le langage universel du corps : comprendre l’être humain à travers la gestuelle », par Philippe Turchet, Les éditions de l’homme, 2009, Montréal-Québec.
Partager
Articles similaires
-
Mal de dos : et si le stress était en cause ?
Le mal de dos et le stress sont tous deux des problèmes courants de nos jours. Ce que beaucoup de gens ignorent c'e...
-
Comment utiliser un oreiller ergonomique à mémoire de forme ?
Qu'il s'agisse du stress quotidien, des grands événements de la vie ou simplement d'un temps d'exposition trop long...
-
Ceinture lombaire : pourquoi et comment l'utiliser ? Guide et comparatif d'achat complet
Des douleurs dorsales variées et fréquentes Les douleurs dorsales touchent des millions de personnes chaque ann...
4 commentaires
Je n’ai recours qu’à la médecine alternative. Affirmative à vos publications. Réceptive à tous vos conseils. Je solutionne le plus souvent la fibromyalgie en restant à l’écoute de mon corps, mon tapis fleurs m’accompagne au quotidien. La Sophrologie-méditation etc…sont pour moi des thérapies qui m’apporte la paix, une façon de soulager toutes les inflammations. MERCI pour ces aides précieuses
J’ai lu cet article avec étonnement tellement c’est vrai
Il faut ecouter notre corps, il nous parle et essayer de comprendre pourquoi ça ne va pas, la solution vous la trouverez ainsi ! C’est vraiment important d’être soi. Même.
Bonsoir,
Je suis bleufee…2 opérations du dos en 2 ans …et effectivement je valide les problématiques
Santé Nature & Cie
Ouvrir l’agenda Rechercher Mon compte Panier 0Migraine, maux de tête : symbolique
Partager sur les réseaux sociaux
Facebook Twitter Pinterest LinkedinSymbolique des maux
Migraine, maux de tête : symbolique
Par Fanny, le 08/06/2014
Les maux de tête peuvent être de courte durée, se prolonger voire encore dégénérer en migraine. Tout dépendra de la problématique à l’origine des douleurs.
En général, les maux de tête réguliers se manifestent chez les personnes intellectuelles, cérébrales, qui cherchent à tout solutionner par la pensée, le raisonnement logique en se coupant de leurs émotions.
Symbolique de la migraine et des maux de tête
Les points ci-dessous sont plus ou moins accentués selon que les maux de tête soient réguliers ou occasionnels. Avec la migraine, on passe au cran supérieur.
Volonté de ne pas perdre le contrôle lors d’un problème rencontré, problème important ou non. Peur de ne pas maitriser les choses, les émotions notamment. Les émotions sont étouffées, on se coupe de ses émotions pour ne pas souffrir. Recherche de la maitrise parfaite, de la perfection dans ce qui est entrepris. Vouloir faire toujours plus, toujours mieux. Déni d’avoir un problème, une émotion : tout est sous contrôle. La personne est quelqu’un de passionné, qui fait les choses à fond et qui n’en fait jamais assez. Elle ne sait pas et ne veut pas s’arrêter par peur d’affronter quelque chose qu’elle appréhende : une angoisse, un vide, l’ennui… etc Se fixer la barre trop haut dans ce qu’on cherche à atteindre. Saturation intellectuelle et mentale. Être entêté par rapport à une situation. « Se prendre la tête » sur quelque chose. Ne pas arriver à mettre en œuvre les solutions que l’on a dans sa tête. …Les maux de tête, quand ils deviennent migraine, sont un moyen pour le corps de dire « Stop, repose-toi, par rapport à tel ou tel problème »
Quand les maux de tête s’accompagnent de vomissements, on rejette violemment une situation, une émotion, un problème qui sont insupportables.
Quand ils sont associés à une gêne à la lumière, la personne ne supporte pas ce que représente la lumière (vérité, réalité… etc).
Retrouvez tous les articles de biodécodage dans le SOMMAIRE.
Bibliographie :
Le grand dictionnaire des malaises et des maladies de Jacques Martel
Bonjour, Je suis un peu perplexe, la lecture d’articles sur le sujet ne m’aidant pas vraiment à y voir plus clair j’ai envisage d’essayer de voir ça sous l’angle symbolique à cause de la répétition d’un schéma bien précis et localisé, en fait la totalité des accidents, opérations, blessures, problèmes de santé est localisée au niveau de la tête. Des cervicales aux yeux en passant par les dents les cheveux l esthetique l aspect vasculaire et les troubles mentaux, la liste est assez impressionnante. Et ailleurs, rien, je suis en bonne santé. J’ai commencé ma vie avec un torticolis congénital non soigné qui m’a laissé une légère plagiocephalie et une corde sur le côté droit du cou. Comment peut on expliquer symboliquement un tel « tir de barrage » localisé exclusivement sur le cou et la tête ? (C’est tellement étendu et varié que je n’en finirais pas de me documenter pour chaque trouble ou défaut. ..Toutefois votre article a beaucoup contribue à m’aider à commencer à décrypter. Notamment du fait que le côté droit a été particulièrement vise (torticolis congénital dents manquantes oeil le plus atteint etc)
C’est très intéressant !
Merci :)